Concentré de protéines de lactosérum, graisse de porc, huile de noix de coco, colostrum bovin, phosphate bicalcique, lécithine, monoglycérides et diglycérides, DL-méthionine, carbonate de calcium, L-tryptophane, L-lysine, taurine, βglucanes, mannane-oligosaccharides, Bacillus licheniformis, Bacillus subtilis, arôme de vanille, supplément de vitamine A, chlorhydrate de thiamine, riboflavine, chlorhydrate de pyridoxine, supplément de vitamine B12, pantothénate de calcium, acide ascorbique, supplément de vitamine D3, supplément de vitamine E, silice, chlorure de choline, niacine, biotine, sulfate de fer, sulfate de cuivre, sulfate de manganèse, sélénite de sodium, oxyde de zinc, acide folique, sulfate de cobalt.

1. À l’aide de la cuillère à mesurer fournie, incorporer 2 ½ cuillères rases de poudre de lait de remplacement à 4 cuillères (60 ml) d’eau chaude (60 °C).
Remuer le mélange pendant 30 secondes ou jusqu’à dissolution complète.
2. Laisser refroidir le lait jusqu’à environ 38 °C (température corporelle). Une fois réhydraté, il est possible de réfrigérer le lait de remplacement pour chatons dans un contenant propre et hermétique pendant une période maximale de 24 heures.
3. Suivre le guide de nourrissage ci-joint et ajuster les portions selon la taille et la croissance de l’animal. Des nourrissages fréquents permettent d’éviter les troubles digestifs et procurent une source d’énergie constante au chaton. Mesurer régulièrement le poids du chaton permet d’assurer un nourrissage adéquat.
4. À l’âge de 3 semaines, le chaton peut apprendre à boire dans une soucoupe.
À 4 semaines, il est possible de le sevrer en réduisant progressivement, sur une période de 3 à 5 jours, la quantité de lait de remplacement ouverte, tout en lui servant des aliments humides pour chatons. Si le sevrage semble lent ou si un complément alimentaire est nécessaire, il est possible de mélanger le lait de remplacement réhydraté avec la nourriture humide du chaton.
5. De l’eau fraîche doit être à la portée du chaton en tout temps.